Aluminium dans les vaccins : danger ?

Il y a quelques temps, un bébé de deux semaines, une petite fille du nom de Stacy, est morte en Belgique, peu de temps après avoir été vaccinée. Pour les parents, il ne fait aucun doute que le vaccin est responsable de la mort d’une enfant qui se portait comme un charme jusqu’à l’injection fatale. Accablés par le chagrin et la douleur, ils demandent alors une autopsie, pour enfin savoir de quoi est morte leur fille. On la leur refuse.
Cette affaire relance un débat vieux depuis plusieurs années, un débat tabou : y a-t-il un danger à se faire vacciner ? Et si oui, pourquoi ? Et lequel ?

Lorsque Pasteur inventa le vaccin, il y eut un tollé. De quoi ? Une piqûre pour protéger contre les maladies ? Se faire injecter quelque chose qu’on ne connaissait pas pour éviter la souffrance et la mort ? Se faire inoculer le virus de la rage pour contre-attaquer contre celui-ci ? Folie, fadaises !!! On rue dans les brancards, on s’indigne, mais après le succès étonnant des idées « folles » de Pasteur, on adopte.
Ce qu’il faut savoir, c’est que jusqu’à une fusion avec le groupe Sanofi, les vaccins Pasteur contenaient non pas de l’aluminium mais du phosphate de calcium, adjuvant déjà présent dans le corps humain et ne présentant par conséquent aucun danger d’un point de vue santé.
Mais pour des raisons financières en grande partie, lors de la fusion, tous les vaccins ont été remplacés par des vaccins comportant de l’aluminium.

L’aluminium, on en trouve dans beaucoup de domaines de notre quotidien, et même dans certains produits de beauté. Il n’agit pas nécessairement en mal sur nous, mais certaines personnes, plus sensibles que d’autres ou ayant à la base un terrain susceptible de développer une maladie grave voire mortelle, vont mal réagir à l’injection d’un produit contenant de l’aluminium et vont devenir victimes de la vaccination. ATTENTION ! Je le répète, tout le monde ne tombera pas malade après un vaccin. Mais les personnes sensibilisées ou présentant un facteur à risque seront plus susceptibles de développer de graves suites au vaccin.

Il y a de cela quelques années, un vaccin avait provoqué un grand débat : le vaccin contre l’hépatite B. Peu après l’injection, plusieurs personnes ont commencé à souffrir de symptômes alarmants (d’abord mises par certains spécialistes sur le compte d’une maladie psychosomatique), d’autres sont mortes.
Mais, me direz vous, comment peut on savoir si oui ou non le vaccin est la cause de la maladie ?
Le seul moyen de garantir la présence d’aluminium dans le corps, c’est de faire un examen appelé biopsie. Seulement, il y a également des chances que lors de l’examen, on passe à un millimètre de l’aluminium, provoquant ainsi une impossibilité de diagnostic.

Madame Marie-Odile Monier, atteinte de myofasciite à macrophages témoigne :

Combien de temps après le vaccin avez-vous développé les symptômes de votre maladie ?
Un an après, les premiers petits symptômes (dysorthographie, difficultés à se concentrer, fatigue importante et douleurs musculaires) sont apparus, mais ont été mis sur le compte du stress. Encore un an après, les symptômes plus importants et invalidants ont fait leur apparition.


Comment avez-vous su qu’il s’agissait bien des conséquences d’un vaccin ?
En faisant mes recherches pour trouver mon diagnostic, au bout d’un an et demi d’examens médicaux en tous genres et après avoir consulté différents spécialistes qui ne trouvaient rien, le médecin a fini par conclure que c’était peut être psychosomatique. Moi, je refusais de croire à cette éventualité, donc j’ai fait des recherches par moi-même et j’ai également une collègue de travail qui était tombée malade et pensait qu’elle était malade à cause de ce vaccin. Elle avait des informations. Après avoir étudié la question et gambergé, j’ai pu obtenir les coordonnées d’un professeur sur Paris qui était déjà persuadé du diagnostic avant la confirmation par examen officiel. Effectivement la biopsie musculaire a révélé la présence d’hydroxyde d’aluminium dans les muscles, prouvant qu’il s’agissait bien d’une myofasciite à macrophages accompagnée d’un syndrome de fatigue chronique. Grâce aux recherches que j’avais faites et aux contacts téléphoniques avec des médecins qui se penchaient sur les effets secondaires graves de la vaccination, j’ai pu comprendre que certaines personnes développent différents types de maladies suite à des doses trop élevées d’hydroxyde d’aluminium, qui est un adjuvant servant à activer le système immunitaire.


Que conseilleriez vous aujourd’hui à toutes les personnes qui souhaitent se faire vacciner ?
De pas le faire. Je les enverrais au suicide. Si encore il existait des vaccins sans aluminium, je leur dirais d’aller voir la composition du vaccin, mais aujourd’hui, ces vaccins n’existent plus. Les gens peuvent mettre ma parole en doute, on dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres mais moi… j’ai tout perdu. Ma santé. Mon boulot. Mon mariage.


Néanmoins vous reconnaissez que tout le monde n’a pas la même sensibilité à l’hydroxyde d’aluminium ?
Oui. Il y a actuellement un chercheur, le professeur Gherardi qui est persuadé d’un terrain génétique prédisposé à la myofasciite à macrophages. Seulement ses recherches ne sont financées que par la seule association représentant les personnes atteintes de cette maladie, EMMM (Entraide aux Malades de la Myofasciite à Macrophages). D’où la lenteur des recherches.


Avez-vous été reconnue comme victime de la vaccination ? Touchez vous des allocations ?

Je touche une pension d’invalidité par la sécurité sociale. Néanmoins, celle-ci n’a pas voulu reconnaître la maladie en tant qu’accident de travail (vaccination obligatoire), malgré ma persévérance, car j’avais été jusqu’en justice. Aujourd’hui, ma première demande à 100% m’a été refusée, sachant quand même que la myofasciite à macrophages est une myopathie inflammatoire invalidante et aucune reconnaissance ne m’a été attribuée par la MDPH, mais je renouvelle les demandes suite à une aggravation de la maladie, car j’ai besoin d’un fauteuil roulant électrique.

A ce jour, les victimes de la vaccination se battent pour faire reconnaître leurs droits. Le professeur Marc Girard et quelques autres les soutiennent.
Cet article n’a pas pour but d’effrayer les gens, encore moins de provoquer une polémique. Mais il est important d’informer les personnes souhaitant se faire vacciner, pour éviter que d’autres madame Monier et d’autres Stacy voient leurs vies détruites à cause d’une totale désinformation.